27 mai 2021
Malgré la signature de l’Accord de libre-échange canadien (ALEC) par les provinces canadiennes en 2017, plusieurs entraves au commerce intérieur perdurent. Pire encore, certaines provinces ont vu le nombre d’obstacles augmenter. En réduisant les obstacles à la libre circulation des personnes, des produits, des services et des investissements à l’intérieur du Canada, cet accord vise à faciliter le commerce interprovincial afin d’établir un marché intérieur ouvert, performant et stable. Les auteurs de ce cahier de recherche voient cette entente commerciale comme un outil essentiel à la relance économique. Cependant, ils proposent de questionner la pertinence de chacune de ces barrières avant de prendre la décision de les supprimer. Comme point de départ, ils analysent la situation de chaque province et établissent un classement selon leur degré d’ouverture au commerce intérieur.
Source : Institut économique de Montréal (IEDM) – Consulter