22 janvier 2024
Malgré la signature de l’Accord de libre-échange canadien (ALEC) par les provinces canadiennes en 2017, plusieurs entraves au commerce intérieur perdurent. Cette année encore, le Québec, n’ayant aboli aucune exception depuis l’entrée en vigueur du traité, se classe bon dernier. L’étude aborde également les restrictions liées à la mobilité de la main-d’œuvre. Une reconnaissance mutuelle des qualifications par les provinces et des lignes directrices claires à l’intention des organismes de réglementation professionnelle pourraient favoriser une augmentation non négligeable du PIB à l’échelle nationale.
Source : Institut économique de Montréal (IEDM) – Consulter